-
Entr'acte.
Rideau.
Il est tôt.
Tu es mon quiproquo, celui qui fait oublier les maux.
Tu as brûlé les décors et détruits mon corps.Silence.
Tout ce qui importe c'est que l'un de nous deux ouvre la porte.
Notre théâtre est rempli de comédies et de non-dits.Reprenons.
Et si toi tu le sais, moi je le sème.
Nos scènes saignent et mon coeur tremble de peur.C'est absurde.
Sur nos sourires se dessinent des soupirs.
Et dans nos larmes dansent de tragiques armes.Interprétation.
Ton ironie me fait grincer d'envie.
Je suis ivre de toi, mime moi.
Coup de théâtre! J'entends ton coeur battre.Rideau.
-
Commentaires
2John DoeDimanche 16 Décembre 2007 à 00:26Kerlas
En somme ; même si c'est pas trés grave, j'aimerai bien savoir si parfois c'est à moi que tu parles, si le point final m'était destiner, si le sms devrait m'indiquer la sortie etc... Dzs choses un peu plus franches, quoi, que nous medias détournés.4il , aima tétéDimanche 16 Décembre 2007 à 16:255IbtiDimanche 16 Décembre 2007 à 21:006AntoineVendredi 28 Décembre 2007 à 19:15roberta
Puce: nf insecte sauteur, pouvant atteindre 4mm de long, parasite de l'homme et des mammifères. voila une déclaration en bonne en due forme. A vite
Ajouter un commentaire
Entre deux actes, Un souffle. Entre deux scènes, Des soupirs. Et quand le rideau tombe, C'est là que commence, Le vrai théâtre, Celui de nos vies !